🎥 La réaction des entraîneurs

Yves Bertucci, entraîneur adjoint du FC Nantes

"C'est un bon point pris à l'extérieur, avec quelques absents. On a un groupe de qualité. On a quelques regrets car on n'a que 3 vraies occasions. On est tombé sur une équipe messine très prudentes.
On a eu du mal à passer derrière la défense messine. Ils défendent mieux et ça a été dur de se procurer des occasions.
J'ai bien aimé l'engagement de nos joueurs. C'est certain que la demi-finale de mercredi était dans les têtes. Mais on a mis de l'engagement. C'est un bon point de pris, mais c'est insuffisant dans les occasions.
J'ai eu Antoine hier soir et ce matin pour préparer la causerie mais il m'a fait confiance.
Il a manqué un peu de précision devant. Il n'y a pas eu la différence individuelle sur un dribble ou une frappe.
Le fait qu'on soit que 18, c'est une mauvaise surprise. On a pu le faire. On va ré-ajuster pour le match face à Monaco. Antoine a demandé aux joueurs de se comporter comme des tauliers. On est satisfait du comportement. C'est au niveau offensif qu'on a manqué un peu de qualité."

Benoît Tavenot, entraîneur adjoint du FC Metz

"C'est un nul logique. On a été trop pauvres pour faire la différence. Il faudra faire plus. Ca reste un point. On le prend.
C'est surtout l'animation qu'il faut travailler. On a vu la différence entre Nantes qui avait 38 points. Nous sommes dans la situation où ils étaient la saison dernière. Ils jouaient relâchés. Il faut qu'on trouve le levier pour les relâcher. On est capables de faire beaucoup mieux. On vit une saison difficile. Ca pèse dans les têtes. On a manqué de force, de jambes, de dynamisme... c'est un tout. Les joueurs s'accrochent et c'est le point positif. Ca va se jouer à peu.
Ce qu'on vit à domicile est incroyable. Le public a ét bien, il a poussé. Mais c'est frustrant pour nous et terrible pour les supporters. On fait abstraction de tout ça et on fait tout pour que le FC Metz soit en Ligue 1 la saison prochaine.
On a fait de très bonnes performances contre les "gros" à l'extérieur. Aujourd'hui, on a été inhibés. Il ne suffit pas de le dire. Il faut trouver la solution.
C'est insuffisant, mais ça reste un point de pris."